Deux grosses oreilles, des yeux jaunes, une fourrure sombre tacheté de couleurs blanc. Des grands doigts effilés sous forme de squelette et des longues dents qu’il utilise à percer la noix de coco. Cet animal est considéré comme une créature maléfique dans la culture populaire des Malgaches de la cote est. Ce lémurien se trouve actuelle en danger d’extinction.

À quelle famille appartient-il le lémurien aye aye ?

Cet animal est classifié parmi les congères grâce à ses dents. Mais après des études approfondi sa ressemblance avec le singe ne manque pas les yeux des chercheures et pourtant il est appelé Daubenthonia madagascariensis appartient à l’ordre des primates. Seul membre de Daubentonia. Et il est aussi le seul représentant de la famille de la DAUBENTONIDAE depuis la disparition de son cousin (aye aye géant) dès le début de l’arrivé des êtres humains à Madagascar. L’espèce est endémique de Madagascar et il est qualifié parmi le gros lémurien nocturne du monde. Il mesure entre 75 et 90cm y compris la queue et pèse de 2kg à 3kg.

À quoi ressemble le lémurien Aye-aye ?

Le lémurien Aye-aye revêt une fourrure brune excepté sur la tête et le dos qui est tacheté au blanc. Il a une longue et épaisse queue, de grosses oreilles, de gros yeux jaunes. Il a ses doigts extrêmement fins et longs dont une adaptation particulière de la troisième phalange plus allongée que les autres. Ses mains se prolongent par des griffes pointues et tranchantes qu’il utilise pour tirer des larves sous les bois morts. Chez cette espèce, il n’existe de dimorphisme sexuel entre le mâle et femelle

En quoi diffère l’Aye-aye aux autres lémurien?

Cet animal se diffère des autres lémuriens par sa denture. Il dispose en effet d’un peigne dentaire, une structure anatomique composée de longues dents plates à l’avant et qui regroupe les incisives et les canines inferieures. L’aye-aye est également le seul primate à posséder 18 dents. Cette mammifère est une espèce solitaire.

Quel est l’habitat de lémuriens Aye-aye ?

Cette mammifère est endémique de Madagascar plus précisément dans la côte-est. Il occupe des forets tropicales humidies. Son aire de répartition géographique s’étend sur environ 600 hectares . Et la plus grande zone de distribution se trouve au nord-est de l’île Madagascar. Ailleurs sur l’île, d’autres sites protégés abritent ou introduisent l’animal en voie de disparition. C’est notamment l’ilot Aye-aye sur le canal des Pangalanes.

De quoi se nourrit le lémurien Aye-aye ?

Il est à la fois insectivore et frugivore. Cette epèce arboricole mange divers fruits, du nectar, des graines, des champignons et des insectes. Ses grandes oreilles rondes lui permettent d’écholocaliser ses proies, telle une roussette volante, dans les troncs d’arbres renfermant des larves. Pour les repérer, l’aye-aye tapote le bois avec ses doigts fins puis, grâce à son ouïe très développée, repère le plus infirme bruit émis par les insectes xylophages.

Quel est le mode de vie de cette mammifère ?

Aye-aye au tempérament solitaire et aux mœurs nocturnes est assez difficile à observer car il dort toute la journée et ne sort que le soir pour chercher sa nourriture. L’animal n’est pas une espèce grégaire. La rivalité entre mâles aboutit parfois à des combats mortels et la sociabilité entre sexes differents ne dure que le temps de l’accouplement. L reproduction peut se tenir toute l’année mais pour cela, la femelle doit montrer sa receptivité en sonsentant à cohabiter (quelques jours et nuits) avec un partenaire. À noter que les femelles n’acceptent de se reproduire que tous les 2 à 3 ans.

Comment se reproduit la moche aye-aye ?

Une fois formé, le couple construit de 2 à 5 nids à l’aide de feuilles qu’il place souvent très haut dans les arbres, entre 10 à 15m au-dessus du sol. Au terme d’une gestation de plus ou moins 5 mois, la femelle Aye-aye donne naissance à un seul petit qui pèse 110 gr. La mère s’occupe le nouveau-né jusqu’à ce qu’il soit capable de vivre tout seul. Le jeune mâle atteint la maturité-té sexuelle vers l’âge un an et demi.

Où est ce qu’on peut trouver l’aye-aye pas loin de Tananarive capital ?

Voulez vous voir tout près cet animal ?

Allons-y !

 On vous amène au Palmarium. Palmarium est une réserve privée à l’Est de Madagascar, à 60km de la ville de Toamasina ou Vingtaine de Km au nord du village Manambato. Le propriétaire de cette réserve a introduit cette bête dans sa réserve appelée L’ILOT AYE-AYE. Chaque fin de l’après-midi, des groupes de touristes se groupent avec les torches bien chargés pour découvrir la vie de cet animal.

Zamilane tours, un tours operateur spécialiste à la domaine vous accompagne une fois vous êtes décidés d’y aller. On peut partir de Tananarive capital ou de Toamasina.

Il faut au moins rester une nuitée à Ankanin’ny nofy ou nid de rêve dans l’hôtel Palmarium pour pouvoir visiter cet endroit.

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Nosy be: meilleur endroit pour le plongée à Madagascar

Nosy Be est située au nord-ouest de Madagascar. Il est célèbre pour ses plages de rêve, ses eaux transparentes et ses îles paradisiaques. Mais au-delà des paysages. Cette île connue sous le nom « d’île aux parfums » est également considérée comme la plus belle destination plongée de Madagascar et même de l’océan Indien ! Les sites de plongée de Nosy Be, appréciés pour leur diversité. En particulier les coraux, les fonds rocheux, les falaises avec une pente raide, les grottes et les arches.

A Nosy Be on trouve de la plus petite à la plus grande faune aquatique. Dont des carangues, des thons, des rascasses, des mérous, des nudibranches, de nombreux poissons de récif. Mais aussi des tortues marines (tortue verte, imbriquée…) et des dauphins, des requins (requins de récif, Requins Léopards, Requins Baleines, etc.), Raies Manta et même Baleines à Bosse ! Il existe plus de 400 sortes de coraux.

Parmi les sites de plongée incontournables à Nosy Be on peut citer Cape Shark, Cape Manta, Sakatia Arch, Gorgonian Bench, Camel Bench, Luis Bench, Rosaria Bench, Ancora…

Le parc marin de Nosy Tanikely: idéal et moins chère pour le plongée à Madagascar

L’île de Tanikely se trouve à 15 minutes en bateau de Nosy Be. Et il est l’un des meilleurs sites de plongée de Madagascar. Il faut dire que cette aire protégée, classée parc national marin, est là pour la protection, puisque la pêche y est interdite. Cette protection fait de son récif un habitat pour un grand nombre de poissons et de coraux.

Connu comme « aquarium naturel », le parc marin de Tanikely permet d’observer des poissons fantômes. Des poissons feuilles, des poissons clowns, des raies pastenagues à points bleus, des poissons papillons, des bancs de vivaneaux, des poissons alligators, des vivaneaux, des langoustes, des barracudas, des bonites, des murènes ainsi que des tortues vertes, des espadons, des dauphins, des requins léopards, des requins à pointe blanche, des requins baleines, des raies manta, des baleines et plus encore !

La plongée au parc marin de Tanikely s’articule autour de l’île : nord, sud et est. La bonne nouvelle, c’est que tous les niveaux peuvent y plonger, des débutants aux plus expérimentés !

Nosy Iranja

L’île de Nosy Iranja, située au sud de Nosy Be (environ 1h30 de bateau depuis Nosy Be). C’est une autre destination de rêve pour les plongeurs voyageant à Madagascar ! Baptisée Turtle Island en raison du grand nombre de tortues vertes qui s’y trouvent. Les sites de plongée de Nosy Iranja se concentrent sur de grands tombants recouverts de gorgones géantes, dont certaines atteignent des profondeurs allant jusqu’à 70 mètres !

Outre les tortues. On trouve des bancs de perroquets à bosse, des bancs de silures, des bancs de silures, des bancs de vivaneaux, des napoléons, des maquereaux, des mérous, des balistes, des chirurgiens, des murènes, des raies (raies aigles, raies jaunes, etc.). Aussi de nombreux requins (gris, léopard et obesus) et, selon la saison, baleines à bosse (juin-octobre).

Les principaux sites de plongée autour de Nosy Iranja incluent Roche Gaby, Atnam, Sugarloaf, Tagada, Arches…

Îles Radame ou Nosy RADAMA

Au sud de Nosy Be, nous vous recommandons vivement de plonger dans les îles Radames. Il se compose de 4 petites îles coralliennes (Nosy Kalakajoro, Nosy Ovy, Nosy Antany Mora et Nosy Valhia) et est l’endroit idéal pour profiter d’une croisière plongée ! Comme sur l’île d’Iran, le fond marin tourbillonne autour des pentes vertigineuses du canal du Mozambique.

Le site de plongée principal des îles Radames est la Nurserie. Là où vous pourrez découvrir de magnifiques jardins de coraux avec de nombreux poissons de récif et de nombreux requins. Nous vous recommandons également les ruines de Greg Wall, une chute remplie de corail avec une variété de poissons qui vous mène à une grotte avec une entrée de 33 mètres de profondeur. Enfin, ne manquez pas les ruines du Banc du Cyclone avec ses nombreuses gorges, arches, grottes et les

Îles Mitsio

Cap au nord de Nosy Be pour découvrir un autre archipel magnifique : les îles Mitsio. Composé de cinq îles (Grande Mitsio, Nosy Lava, Nosy Ankarea, Four Brothers et Nosy Tsara Banjina). L’endroit est aussi idyllique sur terre que sous l’eau. Les plongeurs de tous niveaux trouveront une richesse de la flore et de la faune marines aussi bien en haute mer qu’autour du Pain de Sucre.

Sous l’eau, nous avons trouvé une variété de coraux durs et mous (coraux cornes de cerf, coraux éponges, alcyonaires, ascidis…). Et un grand nombre de poissons de récif (bancs de barracudas, carangues, platax, poissons-anges, gaterins, ludjans, anthias, fusiliers, mérous , vivaneaux à dents de chien,…). Comme pour les plus gros spécimens, vous pourrez également apercevoir des raies, des raies pastenagues, des tortues, des requins de récif, des requins pointes blanches, des requins baleines (selon la saison), des requins léopards, des dauphins, des globicéphales…

Parmi les sites de plongée importants de l’archipel des Mitsio on peut citer Tetons, Banc des 4 frères (avec ses fameuses parois volcaniques), Banc du Castor, Banc de la Dive, Grandes Orgues, Antsoha…

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1 – Les étonnantes mosaïques de Madagascar

Au coeur d’une végétation luxuriante, voyagez à Madagascar autrement.

Depuis Antananarivo nous nous dirigeons vers la ville d’Ambatolampy, capitale de la fabrication de produits en aluminium, notamment la fameuse marmite faite par les malgaches. Ici, il est possible de visiter la fonderie et d’obtenir des souvenirs de l’avenir de Madagascar.

Un peu plus au sud, à la découverte des rizières de Betafo nous partons à pied, dans les tons de vert et de jaune. Cette vallée offre des vues emblématiques des hauts plateaux.

Direction Fianarantsoa, ​​nous naviguons sur le fleuve en pirogue traditionnelle, entre rizières et montagnes jusqu’au village d’Iseta, jusqu’à Sahambavy, seul domaine de thé de Madagascar.

Nous continuons vers le sud, sur la célèbre route national numéro 7 ou RN 7 tous simplement, où se trouve notre trajet. Un détour vaut la peine à la réserve d’Anja, où l’on découvre la faune et la flore de Madagascar, plusieurs espèces de lémuriens, des orchidées qui fleurissent en saison, des chaos rocheux et toute une ribambelle d’autres espèces. Le jour suivant, nous partirons pour une belle randonnée dans le parc de l’Isalo à la rencontre de plantes “adaptées” au climat sec.

Nous passerons ensuite quelques jours sur la côte de Madagascar, belles plages, activités nautiques, baobabs et rencontre avec le peuple Vezo sont au programme. Un voyaege qui se termine par une mise en beauté entre nature et culture.

2 – Découvrir le Nord-Ouest et s’immerger à Sambirano

Au départ de Diego Suarez, nous partons à la découverte de 3 baies et longeons les lagons turquoise du Nord-Ouest. La plus célèbre est la baie de Sakarava, célèbre pour son kitesurf.

Pour découvrir la faune et la flore de Madagascar, en cette saison aux couleurs vives. Le visite de la Montagne d’Ambre et fortement recommander. Un complexe volcanique couvrant une superficie de 300 000 hectares. En route vers le sud, nous nous sommes arrêtés aux Tsingy rouges, un endroit très exotique fait de grès calcaire.

Celles d’Ankarana, encore plus au sud, sont situées dans la forêt. Ici on peut aussi admirer le paysage, l’immensité de ces Tsingy gris, et les animaux qui les entourent.

Nous suivons la route vers Andranomandevy. Là où nous traversons la rivière en pirogues et charrettes jusqu’à l’écolodge où nous passerons la nuit, tenu par l’association des femmes du village. Ensuite, nous mettrons quelques jours pour rejoindre Mahajanga. En chemin, vous pourrez admirer des plantations de cacao et d’ylang ylang. Nous nous arrêterons au village pour rencontrer les habitants, partager et échanger des objets artisanaux.

Mahajanga la ville des fleurs, loin de la saison de pluie à Madagascar

Mahajunga, la ville des fleurs, est une ville cosmopolite d’Arabie, d’Inde et de musulmans. L’après-midi est consacrée à la visite du Cirque Rouge. Une formation géologique formée suite à l’érosion des sols qui subit un dégradé de couleurs.

Cela valait la peine de s’arrêter au parc Ankarafantsika en route pour Antananarivo. Dans cette région, il est considéré comme le plus grand. Une forêt dense et sèche se profile devant nous. Abritant plusieurs espèces de lémuriens, 130 espèces d’oiseaux, des caméléons et des tortues…

Collection de lieux uniques et dépaysants. Ce circuit à Madagascar est idéal pour les amoureux de la nature. Et pour ceux qui cherchent à découvrir la faune et la flore de Madagascar durant les saisons colorées ou la saison de pluies précisément. Il fera de vos photos un très beau souvenir !

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Les deux principaux groupes, les Vezo et les Tanalana, vivent ensemble à Anakao et dans le sud-ouest de Madagascar. Le tourisme a apporté quelques changements à leur vie quotidienne. Mais les traditions et le mode de vie sont très similaires à ceux des autres villages Bezo de la côte sud-ouest.

Origine du groupe de pêche Vezo

Toutes les études récentes confirment que les Malgaches sont majoritairement originaires d’Indonésie. La première vague d’immigrants est arrivée vers l’année 0. Appelés Ntaolo dans la tradition orale malgache. Selon leur mode de survie, ils se divisent en deux groupes : les Vazimba et les Vezo. Les Vezo se tournèrent plus naturellement vers la mer et s’installèrent sur le rivage.

Activité économique distinctive principale et ancienne : Pêche

Les Vezo se trouve de nos jours sur côte sud-ouest de la grand Ile, de la région de Tuléar et dans le region de Morombe. Traditionnellement nomade, elle tend aujourd’hui à être sédentaire. Le vezo suit des bancs de poissons et dort sur les dunes côtières, à l’ombre d’une seule voile carrée servant de tente. Les collectionneurs sont favorables à l’installation de ces personnes. Toutes les ressources de Vezo proviennent de la mer. Pendant que les hommes pêchent dans leurs pirogues, les femmes attendent la marée basse pour parcourir le lagon à la recherche de poulpes, oursins et autres coquillages à manger ou à vendre. Cette pêche se pratique principalement à marée haute, permettant des promenades dans le lagon.

Culture et tradition encore très fortes

Les Vezo croyaient en de nombreux esprits, y compris les esprits des noyés qui parcouraient la mer. Vous ne devez pas pêcher plus que nécessaire, sinon vous offenserez une force surnaturelle qui pourrait riposter, comme provoquer un naufrage. Ne partez pas non plus en mer après avoir parlé à votre père. Vous pourriez vous retrouver poursuivi par une baleine bleue, pas forcément avec de bonnes intentions.

Pirogue à balancier et voile carrée

Vezo est engagé dans toutes les formes de pêche en mer, à pied ou en canoë. Dans des bateaux qu’ils construisent, ils partent avec quelques équipements comme ; masques, harpons, filets et hameçons. Pour eux, la mer est leurs berceaux. C’est elle qui a droit de vie et de mort sur eux. Selon la tradition, il punit ceux qui ne respectent pas les coutumes. La relation avec la mer s’établit dès la naissance. Les restes du cordon ombilical inséraient dans un coquillage. Et il le jete à la mer en signe de sacrifice pour sceller le sort du nouveau-né.

Les enfants de Vezo ont appris très tôt l’art de la pêche. Dès l’âge de cinq ans, ils apprennent à naviguer dans des canoës miniatures. Ils sont également allés pêcher dans un bateau de deux mètres de long et se sont familiarisés avec différentes méthodes de pêche. Soit il devient mpagniriky (une sorte de plongeur) ou pêcheur à pirogue une fois dans le futur.

Les canoës sont creusés dans des arbres de balsa (Farafatse, un type de bois de balsa). Le tronc inférieur est renforcé par des planches du même bois. La partie inférieure est goudronnée et la partie supérieure est peinte de couleurs vives. Fixez ensuite le canot aux supports en bois dur. Le gréement se compose de deux mâts et d’une voile carrée. Selon l’utilisation, les canots varient en longueur de 2 à 8 mètres, dont le plus grand peut facilement transporter plus d’une tonne. Pour Vezo, le canoë est la chose la plus importante, probablement plus importante que sa maison elle-même.

Futur incertain ?

L’augmentation de la population, la demande de poisson, la pollution, la surexploitation des lagons, la pêche industrielle hauturière, etc. entraînent une diminution des stocks de poissons. Si ce phénomène s’amplifie, les Vezo devront probablement repenser leur mode de vie. Par exemple, réorienter les activités vers la protection des ressources marines ?

Population de Pêcheurs et Agriculteurs – Eleveurs

La densité de population dans la plaine côtière, bien qu’en augmentation en raison des taux de natalité élevés, reste faible. Ce qui explique en partie pourquoi il y a peu d’infrastructures de transport et routières.

Il y a deux groupes ethniques qui vivent dans les villages, les Tanalana (un sous-groupe des Mahafaly) considère comme les premiers habitants dans la région, et les pêcheurs Vezo étaient arrivée après, d’origine semi-nomades. Ces deux groupes étaient eux-mêmes divisés en de nombreux clans.

Tanalana et Vezo vivent côte à côte et ont des activités complémentaires : Tanalana pratique l’agriculture et l’élevage (la pêche est une activité secondaire), la pêche en canoë (pirogues à balancier) ou la pêche Vezo à pied.

Les villages sont divisés en différentes zones. Les Vezo vivant au bord de la plage, où ils stockent leurs canoës, et les Tanalana au fond de la plage, où ils fourragent leur bétail et offrent un espace pour leur maigre agriculture.

La population Vezo n’est pas réellement au village d’Anakao. Ils sont constitués de pêcheurs vivant dans la bande côtière sud-ouest de Madagascar. S’étend d’Itampolo au sud à Morondava au nord. Peuple semi-nomade à l’origine, ils ont désormais tendance à s’installer dans des villages comme Anakao à la recherche des meilleures zones de pêche.

La légende raconte que la rencontre et du mariage de Mahafaly et Antanosy de Fort Dauphin serait à l’origine de l’apparition des Tanalana.

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Une visite chez les créateurs de fabuleuses sculptures sur bois qui sont les Villages Zafimaniry Antoetra est un peu fatigante. Mais elle en vaut vraiment la peine. Car l’art du travail du bois ne se limite pas à la fabrication de mobilier et d’artisanat. Mais s’est aussi exprimé dans la construction de maisons. Ainsi, dans les villages, on trouve encore des maisons entières entièrement réalisées en bois tropical noble et richement décorées de sculptures. En raison des mesures de protection et de la raréfaction,. Ce type de bois est devenu rare et n’entre plus en ligne de compte, du moins pour la construction de maisons.

Antoetra

On arrive au villages central de Zafimaniry, Antoetra, en quittant Ambositra par la RN 7 en direction du sud. Après environ 15 km, on atteint Ivato-Centre, où une piste cahoteuse tourne à gauche. Il est préférable de faire le trajet avec une voiture de location (de préférence avec une transmission intégrale/4WD) ou, si l’on aime les choses plus rustiques, avec un taxi brousse. En direction du sud-ouest, on atteint Antoetra après 25 km supplémentaires sur une route en partie cahoteuse. Au total, il faut compter environ 2 heures pour le trajet.

Localisation

Le village se trouve à environ 1.900 m d’altitude et est le point de départ central pour les randonnées vers les villages zafimaniry environnants comme Ankidodo, Faliarivo, Fempina ou Tetazandrotra. En effet, on ne peut y accéder qu’à pied et en compagnie d’un guide connaissant bien les lieux (environ 15.000 Ar par jour pour des groupes allant jusqu’à cinq personnes, médiation possible la plupart du temps par les hôtels d’Ambositra). Les randonnées vers les villages se déroulent dans les montagnes, c’est pourquoi il peut y faire assez frais. Un bon équipement, surtout des chaussures solides et des vêtements de pluie, est donc obligatoire ! De plus, la région est très accidentée et il est facile de se perdre sans connaître les lieux.

Pour visiter plusieurs villages, il faut prévoir au moins deux à trois jours de randonnée. Il est possible de passer la nuit en route sous la tente ou dans les villages. Les normes sont toutefois minimales. Les villages sont très isolés et ne disposent pas d’infrastructures. Il est donc indispensable d’emporter suffisamment de protection solaire, d’eau et de comprimés Micropur !

si vous êtes intéressé pour voyage et que vous auriez envie de visite ce village. Le Découverte des arts et vies vous conviendrez

A propos

En raison de l’intérêt croissant des touristes, Antoetra a elle-même perdu une grande partie de son authenticité. La taxe de séjour de 5.000 Ar que chaque visiteur doit payer n’est qu’une expression de cette évolution. En outre, il est frappant de constater que les habitants du village – en particulier les enfants – apparaissent en haillons, bien plus que ne le laisseraient supposer les revenus non négligeables du tourisme. On dit que le chef du village incite les gens à mendier, tandis que les enfants sont de préférence utilisés pour vendre des objets en bois afin d’attiser la générosité et les dons des touristes compatissants.

Ainsi, l’entraide locale est étouffée par la corruption et se transforme en son contraire, d’autant plus qu’au moins les enfants devraient aller à l’école au lieu de mendier ou de travailler comme vendeurs. A part comme point de départ pour des randonnées, un séjour à Antoetra n’est donc plus guère recommandé.

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Quand on parle du Canal des Pangalanes ; pour faciliter le transport des produits agricoles des villages voisinant ce canal. Des plantations vers le port maritime le plus proche. Les Français ont construit, à l’époque coloniale, un canal continuellement navigable parallèle à la côte de l’océan Indien. Aujourd’hui, ce canal offre la possibilité de découvrir différentes parties de la côte est depuis l’eau.

Départ et durée : on peut partir de Toamasina (Tamatave) et arriver à Akanin’ny Nofy sur le lac Ampitabe. Au port de Toamasina, des bateaux peuvent être loués pour plusieurs heures.

Prix : bateau à moteur pour 3 heures, environ 40 € par personne (5 personnes). Pirogues pour 4 heures, environ 10 € par personne (2 personnes).

À prévoir : protection contre le soleil et la pluie, eau et casse-croûte pour les excursions plus longues.

Lentement, accompagné du seul clapotis des rames, le canoë glisse sur l’eau. Une légère brise souffle depuis les collines. Sur les berges se dressent l’”oreille d’éléphant” et l’”arbre du voyageur”, la plante nationale de Madagascar. Le long des berges, on aperçoit des villages où les femmes préparent les repas. Le canal des Pangalanes est une fenêtre sur le paysage malgache le plus idyllique. Les pêcheurs tendent leurs filets, leurs cannes à pêche et leurs nasses, dans l’espoir d’une prise chanceuse. Outre le poisson, les crabes de rivière sont une spécialité locale. Les eaux du canal abritent également des crocodiles de rivière, malheureusement devenus rares en raison d’une chasse inconsidérée. Bien qu’ils soient plus petits que leurs homologues du continent africain. Les crocodiles de Madagascar sont quelque peu respectés par la population locale. Quelques palissades en bois protègent les zones de collecte d’eau ou de baignade des visiteurs indésirables.

Une nouvelle voie d’eau : le canal des Pangalanes

La mer souvent agitée au large de la côte orientale rend difficile la circulation des petites embarcations le long de la côte. Pour acheminer les produits des plantations locales vers les marchés des villes de l’est ou vers le grand port de Toamasina pour l’exportation, il fallait donc trouver une autre voie de transport.

Les dunes de sable situées en divers points de la côte permettaient de détourner le cours des rivières descendant des montagnes. Ou de les canaliser pour créer des bassins. Dans les années 1940, les Français ont envisagé de relier ces lacs et rivières par un canal. Afin de créer une voie d’eau facilement navigable le long de la côte orientale. Depuis la ville portuaire de Toamasina, le canal des Pangalanes s’étend vers le sud sur environ 600 km 

le long de la côte jusqu’à Farafangana. À plusieurs endroits, il est séparé de l’océan Indien par une dune de sable d’une centaine de mètres de large.

Une destination d’excursion fréquente Une fois l’ère coloniale terminée. Cette voie d’eau a perdu de plus en plus d’importance économique et son entretien a été interrompu. Ensablée à plusieurs endroits, elle n’est aujourd’hui plus entièrement praticable par les grandes embarcations. Cependant, comme autrefois, il constitue toujours une voie d’eau importante. Utilisée par les agriculteurs pour transporter les marchandises vers le marché le plus proche.

Alternative

Le tronçon du canal près d’Ampasimanolotra (Brickaville) est devenu une destination d’excursion populaire depuis les années 1960. La baignade dans l’océan Indien étant trop dangereuse à plusieurs endroits de la côte est, les lacs adjacents à la côte offrent une bonne alternative. De nombreux petits hôtels ont vu le jour autour du lac Ampitabe, invitant à la détente et aux promenades en bateau. L’esprit d’aventure

Les aventuriers peuvent se déplacer en canoë ou en lakana (pirogue) le long du canal qui longe la côte est, de Toamasina au lac Ampitabe. Il est conseillé d’emporter une tente et des provisions. Un autre tronçon intéressant à parcourir pendant plusieurs jours est celui qui relie Mananjary à Manakara, accessible par une excellente route asphaltée. Ici, entre autres, les Antaimoro vivent dans des villages encore très traditionnels, avec un chef et un roi. Les visiter est une expérience extraordinaire. Les habitants sont extrêmement sympathiques et invitent les visiteurs à participer à la vie traditionnelle du village.

Ampasimanolotra (Brickaville)

Ampasimanolotra, également appelé Vohibinany. Situé sur les rives du fleuve Rianila, directement le long de la RN 2. À cet endroit, la ligne de chemin de fer d’Andasibe traverse la route nationale et continue le long de la côte jusqu’à Toamasina. Près d’Ampasimanolotra, certains tour-opérateurs organisent des excursions en bateau sur le canal des Pangalanes.

Dans les environs de cette zone, il y a plusieurs petits lacs reliés entre eux par le canal. L’un d’entre eux, Ampitabe, s’est récemment transformé en une destination touristique intéressante. Et qui offre à ses hôtes des hôtels bien situés et la possibilité de pratiquer différents sports nautiques. On peut également s’y rendre en train et descendre à la gare d’Andranokoditra.

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L’île Madagascar possède trois Tsingy : Tsingy rouge, Tsingy namoroka et Tsingy de Bemaraha. Ce dernier est le plus connu et plus célèbre dans le monde qui se trouve à l’ouest de l’île à 210Km au Nord de Morondava dans la Région Melaky.

Les Tsingy de Bemaraha est en même temps un parc national et réserve naturelle. Il est connu pour ses formation de roches calcaires uniques au monde, appelées localement Tsingy (pointu). Cet endroit est aussi célèbre pour ces grottes pleines de stalagmite et stalactite, ses rivières (Manambolo) et sa faune et flore.

Comment se forment les Tsingy de Madagascar?

Les Tsingy de Bemaraha ont été formés il y a des millions d’années. Lorsque l’eau avait érodé lentement le calcaire pour créer des fissures, des gouffres et des aiguilles de pierre acérées d’où le nom Tsingy. Les formations rocheuses sont tellement complexes et si vaste, difficiles à parcourir sans équipement spécialisé. Les Tsingy peuvent s’elever d’une hauteur plus de 50m, offrant des vues spectaculaires sur les paysages environnant.

Le parc national se divise en deuc parties, le Grand Tsingy et le petit Tsingy. Le plus grand est le plus impressionnant mais plus difficile à accéder. Les touristes peuvent marcher sur des ponts suspendus en acier et explorer des grottes souterraines. Quant au petit Tsingy, plus facile et accessible et propose de randonnée plus courts et moins exigeants. Si le temps nous le permet, on peut visiter tous les deux.

Que voir au Tsingy à part le paysage ?

Le Tsingy de Bemaraha également connus pour sa faune et sa flore unique. Il abrite une grande diversité d’espèce d’animaux dont certains sont endémiques. Les lémuriens sont particulièrement l’emblème de ce parc surtout lémurien danseur Sifaka qui attire beaucoup des visiteurs et est possible de les voir de près. Nombreux sont les reptiles, les amphibiens qui nichent dans cet endroit ainsi que des oiseaux endémiques.

La faune et flore sont deux choses qui ne se sépare jamais. Le Tsingy abrite plusieurs espèces de plantes endémiques. Les baobabs poussent tout au long sur l’allé vers le Tsingy ainsi qu’à l’intérieur du parc aussi.

Combien coute l’entrée du parc ?

L’entrée du parc coute 55000Ar environ 14 euros par personne ;

Guidage 180000Ar environ 45 euros.

Si vous n’avez pas le guidage ou vous êtes en voyage tout seule, achetez le ticket d’entrer au bureau du parc à Morondava ou confier à votre chauffeur de l’acheter.

Notez bien que le responsable du parc n’accepte pas le payement cache pour leurs securité. Soit l’achetez à Morondava, soit vous le payez sur place par MVOLA.

Bonne aventure

Quand partir au Tsingy ?

Les Tsingy de Bemaraha considérés comme une merveille de la nature et ont été classés au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1990. Vue que la route qui mène à cet endroit est encore en mauvaise état, le parc est fermé de novembre à la fin du mois de mars. Cela coinside à la saison cyclonique et l’eau du fleuve Tsiribihina monte de haut niveau. Je vous conseille surtout n’essayer pas d’y aller de novembre au mois de mars.

Comment y accéder ?

Seulement voiture 4*4 off road est accessible au Tsingy. On vous invite de bien vérifier votre voiture avant d’y aller pour ne pas perdre de temps. Assurez-vous aussi que votre voiture a de clim car il y a beaucoup de poussière et vous risquez de fermer les vitres et cela fait monter la température à l’intérieur.

Où dorment les visiteurs ?

Il y a pas mal des hôtels au village à l’accès du parc. Il y a des hôtels luxes et standard au porté du monde. Par expérience, on vous suggère hôtel Orchidée de Bemaraha

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Les différentes ethnies de Madagascar ont des traditions différentes qui régissent leur relation avec les morts (Tombes) et les ancêtres. Une partie de ces rituels et l’importance particulière accordée aux ancêtres est probablement héritée des immigrants asiatiques. Même dans l’archipel indonésien, la mort joue un rôle important dans les sociétés traditionnelles.

Dans la région des hauts plateaux. Il existe des tombes familiales dans lesquelles les membres de la famille sont traditionnellement enterrés depuis des générations.

Dans d’autres régions, on construit de gigantesques sépultures individuelles (au Mahafaly) ou doubles (à l’Antandroy). Pour les Antanosy du sud-est, en revanche. Le lieu de sépulture n’a pas d’importance : les morts sont enterrés dans une tombe sans ornement, loin du village. Cependant, le long des rues et des chemins principaux. On trouve des pierres commémoratives qui rappellent chaque jour aux vivants la mémoire de leurs morts.

Dans l’ouest et le sud surtout, certains groupes ethniques ont pour coutume de représenter la position occupée par le défunt au sein de la famille ou de la société par une décoration traditionnelle de la tombe. Les Mahafaly, par exemple, avaient l’habitude d’abattre une grande partie des zébus appartenant au défunt au moment de l’enterrement. Au cours des festivités funéraires, ils les grillent, les mangent et déposent enfin leurs crânes sur la tombe. Même des années plus tard. Il est possible de reconnaître la richesse de la personne enterrée au nombre de crânes de zébus présents.

Des ornements de tombes à la signification symbolique

Les Mahafaly décorent leurs tombes avec des stèles en bois. Outre les symboles traditionnels. Ces stèles (appelées Aloalo) portent sur leur partie supérieure des objets représentatifs de la vie du défunt. Comme l’image d’un zébu, s’il était propriétaire d’un grand troupeau, ou d’un autre, s’il était chauffeur de taxi.

Le vol de ces stèles par les touristes et la déforestation constante ont convaincu les Mahafaly de certaines régions de dessiner les symboles du défunt sur les parois extérieures de la tombe. De nos jours, il n’est pas rare de trouver également l’affiche d’un film préféré, ou un avion commémorant un voyage lointain effectué par un disparu.

Les Sakalava de l’Ouest décoraient également leurs tombes avec des sculptures en bois. Nombre d’entre elles représentaient des scènes érotiques, en référence à la fertilité du défunt. Aujourd’hui, on n’en trouve pratiquement plus, car certains pilleurs de tombes (surtout des touristes) les ont souvent emportées en guise de souvenirs.

Fête de l’exhumation des âmes

La fête de l’exhumation des âmes, Famadihana, est une importante solennité familiale en l’honneur d’un défunt, bien ancrée chez les Merina et les Besileo du plateau.

Cette grande fête, à laquelle toute la famille est toujours invitée ainsi que tout le village, et à laquelle participent même souvent des parents venus d’Europe, représente un engagement financier important pour la famille concernée, qui commence souvent à économiser plusieurs années à l’avance.

Le sens et le but ultime du Famadihana est avant tout de permettre à l’âme du défunt de passer dans un état supérieur (Zanahary) et de se rapprocher de Dieu. Selon les croyances locales, l’âme (Fanahy) du défunt continue à vivre. Au cours du premier Famadihana (tour), l’âme est transformée en l’essence divine Andriamanitra et, à partir de ce moment-là, elle continuera à vivre dans le royaume de Dieu.

Le corps d’un parent est enterré dans la tombe familiale commune, même si le défunt n’a pas vécu avec les membres de sa famille ou dans le village pendant un certain temps. Ces tombes familiales consistent en un espace angulaire, entouré d’un mur et enterré à environ un tiers. Une porte mène à cet espace, qui n’est ouvert qu’à l’occasion des funérailles et d’autres cérémonies. A l’intérieur de la pièce, les morts sont disposés dans des niches le long des murs.

Tous les ans, deux ans ou trois ans, un Famadihana est organisé pour les morts. Il n’y a pas de règle fixe quant à la date de la cérémonie : elle coïncide souvent avec un événement particulier du présent, par exemple l’apparition en rêve du défunt à un membre de la famille.

Préparation de la fête tombes et ancêtres

La préparation de la fête prend des jours, voire des semaines. Pendant toute sa durée, la famille doit s’occuper des invités. Le matin, ceux-ci se réunissent, créant un moment de fête où l’on fait de la musique ensemble, où l’on chante et où l’on danse. Vient ensuite l’ouverture solennelle de la porte du tombeau familial. D’où l’on sort la dépouille du défunt enveloppée dans un linceul. Au cours d’une brève cérémonie, ce dernier est ouvert et les restes du défunt (presque toujours uniquement des os) sont placés dans un linceul propre. Qui est ensuite transporté dans tout le village au son de la musique et d’un comptage joyeux. Le défunt est ainsi informé des nouvelles de la famille et du village. Une fois la fête terminée, le drap contenant les restes est replacé dans la tombe.

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A Madagascar, si vous vous y aventurez pour la première fois, vous pouvez facilement être submergé par le carnaval et l’ingéniosité des habitants, dont les âmes sont tendres. La grande île de l’océan Indien continue d’émerveiller les visiteurs par les nombreuses merveilles qu’elle découvre dans tous les sens.

Savika ou célèbre tolon’omby de Madagascar

Bien que pratiquée uniquement dans certaines régions très conservatrices du pays, la savika est véritablement un sport malgache. Mais c’est aussi une culture, qui fait partie de la vie de tous les jours.

Savika est une pratique également connue sous le nom de “tolon’omby” ou domptage de taureaux. On peut aussi l’assimiler à l’expression très courante “prendre les taureaux par les cornes”.

Autrefois, la pratique consistait à démontrer sa force face à un bison. Le but est de l’apprivoiser par tous les moyens, mais en utilisant uniquement sa force physique. Aujourd’hui, savika est toujours dans ce sens. Au fil des ans, le savika est devenu un sport à part entière, car c’est une mesure de sa force.

La savika s’est déroulée devant quelques spectateurs à l’extérieur du paddock. Un ou plusieurs jeunes hommes partagent le fardeau d’apprivoiser la bête, de la fatiguer et d’accepter la défaite. Même avec la modernité à portée de main, le “savika” reste un sport particulièrement populaire chez les Malgaches.

Même dans les grandes villes de Chine, vous pouvez avoir la possibilité de regarder un “match”. Et ce sport n’est pas seulement aimé des hommes, les femmes sont aussi des admiratrices fanatiques ! La chose la plus intéressante à propos de ce sport est que lorsque vous allez y participer, vous constaterez que les participants ne sont pas des hommes très musclés, et certains ont même l’air très minces avec le torse nu !

Vous seriez surpris de voir comment, même avec le gore, les participants s’en sont sortis indemnes ! Un petit secret que seuls les Malgaches savent gérer.

Bol (la pétanque)

Appréciant le calme et le challenge qui chauffe le cerveau, la pétanque reste un sport très apprécié des Malgaches. Les terrains de jeux sont partout, surtout dans les villes, et beaucoup de gens se mettent au sport.

S’il y a quelques années la pétanque avait peu d’attrait pour les Malgaches, depuis l’année dernière la prédilection pour ce sport célèbre a culminé. Il faut aussi reconnaître que les Malgaches ont obtenu un réel succès dans la pratique de la pétanque.

La dextérité est attribuée à l’immense dynamisme et à la concentration des plus grands joueurs. L’une des raisons pour lesquelles Madagascar a été un grand gagnant international ces derniers temps. Avec la pratique de la pétanque dans la rue, les passants s’enthousiasmaient rapidement et s’intéressaient à admirer l’intelligence de leurs adversaires.

De plus, la notoriété malgache pour le sport ne fait qu’ajouter à la popularité de ce dernier auprès des amateurs émergents. Malgré une pratique calme et concentrée, le Malgache parle de plus en plus du sport avec son cœur. Par conséquent, il n’est pas rare de voir de grands groupes de personnes participer à de petites courses dans la rue.

Le Rugby sports préférés des Malgaches

Le rugby occupe une place très importante dans la liste des sports préférés des Malgaches. Nécessitent une grande surface de terrain, Le rugby se joue le plus souvent à Antananarivo et dans les grandes villes.

Les concours peuvent rassembler des milliers de followers et de fans. C’est la culture malgache, mais ils aiment les sports qui impliquent l’usage de la force. Poussés par une poussée d’adrénaline, les rugbymen sont de véritables stars pour les Malgaches. Il faut attendre les grands matchs de rugby pour voir combien de Malgaches sont fans de rugby. Il n’y a pas de meilleur moyen de constater à quel point les habitants aiment le rugby que de visiter les grands stades de la capitale.

Football

Le Malgache est aussi un grand amateur de ballons ronds. Comme la plupart des pays du monde, les jeunes et les enfants en particulier adorent ce sport. Cependant, il y a pas mal d’adultes qui en sont fans, et qui sont toujours des téléspectateurs courageux, admirant leurs enfants ! Promenez-vous le week-end et après l’école et vous trouverez des jeunes qui tirent joyeusement des buts dans chaque clairière.

Même si le jeu suit les mêmes règles que le jeu mondial, le ballon de Madagascar peut parfois paraître un peu spécial. Les enfants malgaches sont de vrais maîtres du système de débrouillardise.

S’ils n’ont pas de ballon sous la main, ils en fabriqueront un avec une pochette. Ils en ont fait une grosse boule de la taille d’un ballon et l’ont solidement attachée. On ne se lasse pas du spectacle alors que l’on regarde ces enfants taper dans leurs précieux ballons de soccer à leur guise, et il faut le dire, il y a quelque chose de spécial à ce sujet.

Boxe Moderne et Boxe Malgache à leur façon.

Parfois absente de la liste, la boxe est un sport pratiqué par de nombreux Malgaches. Revenu moyen, parfois très faible, Très peu de personnes ont accès aux clubs officiels.

Nous rencontrerons des tournois officiels avec des joueurs certifiés, mais nous participerons également à de nombreux tournois dans des lieux secrets. La connaissance des horaires et des lieux se transmet de bouche à oreille. Mais en général, la boxe est très populaire auprès des Malgaches.

La musculation

C’est un sport moderne mais attractif. Nombreux sont les malgaches qui s’intéressent à ce sport de nos jours. Le culte du corps associé à une bonne musculature est largement promu de nos jours par la jeunesse malgache, sans oublier les personnes âgées qui ont commencé à le pratiquer.

Certaines personnes pratiquent la musculation, et certaines personnes aiment simplement développer leurs muscles. Par exemple, dans la capitale, il y a des salles de musculation dans des petits coins. Et nous avons été surpris de constater que non seulement les hommes en sont fans, mais que les femmes adorent tout autant le culte du corps.

Pour ceux qui n’ont pas assez d’argent pour aller au théâtre, ils vont dans des lieux qui proposent du matériel à la malgache. Des exercices ciblés sont effectués avec des pneus, des poids dans le système D et des protéines à la manière de Madagascar.

Après un grand succès auprès de la jeunesse locale, le sport est privilégié dans la pratique mais ne se démarque pas vraiment. Pour eux, le sport n’est pas vraiment honoré et difficilement classer. Mais c’est ce qui leurs rendent particulier !

A Madagascar il y a beaucoup d’activité que ce soit sport et loisirs. Quelques sports pratiqués par les étrangers sont devenus et à prier une place importante dans la vie de Malgaches. Même s’ils ont leurs activités sportives typiquement à eux comme le Savika.
du coup ce sont les sports préférés des Malgaches

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Selon la tradition, le fondateur du royaume de Sakalava était le prince Maroseranana ou Maroseraña. Étant originaires de la région de Fiherenana, beaucoup pensent qu’ils sont blancs, peut-être d’origine arabe. Princes intelligents, ils savent comment traiter avec les Européens pour obtenir des armes. Ces armes étaient échangées contre des esclaves et utilisées pour conquérir d’autres princes voisins.

Histoire du Royaume de Sakalava

Historiquement, le royaume de Sakalava devait sa force et son statut au roi Andriamisara. Et plus tard, c’est son fils Andriandahifotsy qui l’a succédé. Et il a continué à accomplir le travail du roi Andria tout en répandant leurs royaumes au-delà de Mangoky.

Dès le début de son règne, le roi tenta d’imposer à Andrevola de protéger la baie de Saint-Augustin. Ce dernier était un endroit stratégique car les Hollandais venaient ici pour faire du commerce. Mais la famille Andrevola, avec l’aide du gouverneur de Fort-Dauphin Champargou, réussit à dissuader le roi d’abandonner ses projets du Golfe. Tandis que les successeurs d’Andriandahifotsy maintiennent ceux qui sont dominés par le roi jusqu’à Tsongay (Andriamandisoarivo et Andriamanetiarivo)

Le XVIIIe siècle est marqué par ls suprématie du royaume Sakalava qui se base principalement sur le commerce avec les puissances occidentales. Mais c’est aussi au XVIIIe siècle que Merina entreprit de conquérir ce puissant royaume. Le royaume de Merina comptait sur la conquête des îles de l’Ouest pour récupérer le privilège des relations commerciales entretenues par les Sakalava avec les Européens.

Par conséquent, après avoir adopté le nom d’Andrianampoinimerina, le roi Imerina a signé un traité d’amitié avec Ravahini, le chef de Boina. Andrianampoinimerina entend négocier une alliance entre le Royaume des Sakalava et l’Imerina. Il faut alors noter, cependant, que s’il réussit à soumettre les Sihanaka et les Betsileo, le roi Merina eut du mal à contrôler les Sakalavas. Dans ce dernier cas, les Merinas s’apparentent à des vassaux qui ne se soumettent pas facilement.

Lors de la conquête du royaume de Sakalava, l’armée d’Andrianampoinimerina est soutenue par des experts occidentaux. Plutôt que de piller le royaume, ils préférèrent une occupation militaire du territoire de Sakarava.

Voyage dans la region ouest suit le lien.

À propos de la tribu Sakarava

La tribu Sakalava est la tribu la plus célèbre de Madagascar… Ils sont si uniques car leurs dialectes, traditions, musique et aussi leurs personnalités sont tellement différentes des autres tribus.

Traditions et dialectes de la tribu Sakalava

Les sakalava du Boina sont ceux qui se trouvent sur la partie Nord de l’île à la différence des Sakalava de Menabe qui sont des peuples du sud et du sud-ouest de Madagascar, notamment en Morondava.

Leur dialecte est le dialecte Sakalava, avec la plupart des mots d’origine africaine. À Diego, cependant, la langue est fortement mélangée aux langues étrangères, influencée par les touristes et les touristes français et américains.

Les Sakalava ont leur propre façon de s’habiller. Les femelles sont kisaly et salovana et les mâles sont kitamby. Ces vêtements étaient une marque d’honneur ou de tristesse. Par exemple, pour les femmes, elles portent “salovana” ou “Kisaly” dans les fêtes ou dans la vie de tous les jours. Il en va de même pour les funérailles, mais dans ce cas, ils salissent les funérailles (c’est une tradition). Ensuite, parfois, ils s’imprègnent de “masonjoany“. Ce dernier est un produit naturel qui rend leurs visages doux et beaux.

Les Sakalava sont réputés grâce aux musiques traditionnelles. Ceux du Boina sont surtout célèbre pour le salegy, kaoitry. Et les Sakalava du Menabe sont rénommé par la musique Kilalaky.  Dans la plupart de leurs chansons, leur objectif est de faire savoir aux autres qu’ils sont d’origine africaine.

Il existe deux tribus Sakalava à Madagascar : les Sakalava de Boina et les Sakalava de Menabe

Le caractère des Sakalava est également assez différent des autres tribus. La plupart des Sakalava sont hospitaliers, gentils et respectueux. Ils ne sont pas hypocrites et aiment communiquer avec les gens.

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